Citation - R. Guyard.
Les noyés remontent toujours à la surface. Trop tard, en général. (R. Guyard) ¤¤¤o¤¤¤
Pour parler de tout et de rien, surtout de rien !
Les noyés remontent toujours à la surface. Trop tard, en général. (R. Guyard) ¤¤¤o¤¤¤
A 15 ans,, l'école, c'est comme les poils, on en a plein le cul. ¤¤¤o¤¤¤
Il faut quand même le reconnaître. A long terme, nous sommes tous morts. (J6M. Keyner) ¤¤¤o¤¤¤ Mais alors, si Dieu n'existe pas, qui ouvre les portes automatiques dans les grands magasins ? (P. Murray) ¤¤¤o¤¤¤
Trop de repos n'a jamais fait mourir personne. (Tristan Bernard) ¤¤¤o¤¤¤
Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. (Fédéric Dard) ¤¤¤o¤¤¤
N'est-il pas normal que les labradors soient les compagnons préférés des hommes politiques quand on sait que c'est la race qui fournit la plupart des chiens d'aveugles. (Jean Amadou)
La conscience, comme l'appendice, ne sert à rien, sauf à rendre l'homme malade. (A. Vialatte)
¤¤¤¤¤ Elle voulait me donner son coeur, et j'avais un mal fou à lui expliquer que je n'étais pas habilité à recevoir des dons d'organes. (Olivier de Kersauson).
Le comptoir d'un café est le parlement du peuple. (Honoré de Balzac) Ventre affamé n'a pas d'oreilles, mais il a un sacré nez ! (Alphonse Allais) (source : almanach Vermot)
Il y a l'avocat qui connait bien la loi, et il y a l'avocat qui connait bien le juge. (Coluche) ¤¤¤o¤¤¤